vos contenus ont de la valeur

aletheia publishing est une agence conseil créative, spécialiste de la communication, des médias, de l’édition et de la production de contenu. Nous pensons que la culture, la sensibilité et l’éclectisme forment ensemble le nec plus ultra d’une communication originale et efficace.

aletheia (concept hérité de la Grèce antique)

Traduit vulgairement par “vérité”, le concept désignait originellement le sens dispensé par les personnes investies d’une autorité, telles que les aèdes, devins, prêtres ou rois. On croyait à la parole sans preuve, parole qui se suffisait à elle-même, car émanant d’une autorité sacralisée. C’est un propos tenu pour vrai, poétique, assertorique, une croyance qui s’impose. Dès lors le contraire de l’aletheia n’est pas le faux ou le mensonge, mais le caché, l’oubli, ce qui a manqué la lumière et qui est resté dans l’ombre.

Proposition(s) : notre savoir-écrire-dire-faire

Création(s) de contenu (originaux) – Copywriting

Notre actualité quotidienne regorge de controverses, d’opinions qui s’affrontent, de débats récurrents. Une telle profusion de jugements de valeur tient à plusieurs facteurs. Le plus visible est la spectaculaire intensification des possibilités techniques de diffusion des opinions, via internet et les réseaux sociaux : là où l’opinion personnelle était limitée à la sphère privée, ou bien réservée, dans son expression publique, à ceux qui avaient accès aux organes de presse, elle peut aujourd’hui se faire largement connaître à la seule initiative de son producteur, sans médiation. Parce que la meilleure communication débute toujours avec votre actualité, y compris quand il s’agit de votre entreprise ou de votre marque. Encore faut-il déterminer le bon wording, ce qu’il est important de dire et de quelle manière passer les bons messages.

“Le medium est le message”.

Herbert Marshall McLuhan

Édition(s) – Corporate publishing

Pourquoi ne pas devenir votre propre média ? Vous pensiez vendre seulement des produits ? Pourtant vous diffusez du contenu... Depuis la crise de 2008 et l’émergence de la publicité ciblée online, la crise de la presse écrite et de l’édition imprimée ont finalement engendré de nouvelles opportunités pour les entités désireuses de réaliser une communication sur mesure à travers un média dédié (magazine, revue, artbook…etc). C’est une autre manière de valoriser votre clientèle en diffusant un vrai magazine avec des contenus originaux rédigés par de vrais journalistes et déclinés autour de votre secteur d’activité. Le prétexte idéal pour (re)travailler sur son identité de marque.

“Chaque fois qu'il y a un changement de support, il y a un Socrate qui engueule un Platon.”

Michel Serres

Nous aimons les approches transversales, afin de nourrir vos contenus en convoquant ensemble l’art, la culture, le cinéma, l’histoire, la philosophie.

Durabilité(s) – Communication RSE

L’écologie s’affranchit progressivement des groupements politiques et du discours contestataire pour occuper une place centrale dans notre société, à tel point que les entreprises les plus performantes seront nécessairement les plus engagées : l’engagement est devenu l’un des plus puissants leviers de croissance et de création de valeur. Cependant le discours autour de ces questions cruciales reste trop souvent confus, instrumentalisé ou idéologisé, et par conséquent ses champs d’application mal définis. En effet, le flux d’informations non-vérifiées, voire contradictoires (même au sein de la communauté scientifique), rend difficile la connaissance en matière d’écologie, et difficile l’accès aux problématiques plus générales liées à la notion de durabilité. Parallèlement la multiplication récente de concepts divers proches de l’idée de durabilité (transition, économie circulaire…etc.) est une difficulté supplémentaire qui rend difficile la communication entre les différents acteurs de l’économie durable. D’autres freins complexifient encore cette équation : l’état embryonnaire des connaissances en matière de durabilité, les intérêts divers et variés qui compliquent la prise de décision « objective », ou encore simplement le manque de communication ou de partage des informations.

“Oui il faut parier ; cela n’est pas volontaire, vous êtes embarqué. Si vous gagnez, vous gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien.”

Blaise Pascal

Réseaux sociaux – social media management

L’étymologie du terme « réseau » vient du latin « retiolus », petit filet, diminutif de « retis », filet. Le mot de l’ancien français est « rets », le mot anglais « net » ayant un lien avec ce dernier. Son premier sens est « entrelacement de fils et de lignes ». Dès lors, plus particulièrement, dans les domaines techniques (informatique, télécommunications, énergie, voirie, transport de l’eau, etc.), on appelle « réseau » un ensemble de nœuds (ou pôles) reliés entre eux par des liens (ou canaux) afin d’échanger, de partager des ressources, de transporter de la matière ou de l’énergie. Les nœuds peuvent avoir des fonctions plus au moins complexes de distribution, de concentration, d’évolution, tandis que les canaux assurent une fonction de transport. Aujourd’hui 71 % des 15‐34 ans déclarent utiliser les réseaux sociaux pour s’informer, loin devant les JT, les flashs d’info ou encore la presse quotidienne, même en ligne. Dans le même temps, chacun y est pourvoyeur d’informations, d’avis et de contenus divers. Voilà beaucoup de « noeuds" dont il va falloir tenir compte pour dérouler des fils d’actualité cohérents ! Et puis il y a aussi les robots, ces influenceurs virtuels qui règnent désormais sur Facebook et Instagram… Sans parler des chatbot et autres promesses de l’intelligence artificielle. Une raison supplémentaire de se résigner en déclarant la saturation de tous les réseaux… ou de trouver des solutions créatives.

“À l’avenir, chacun aura droit à quinze minutes de célébrité mondiale.”

Andy Warhol

Gestion(s) de crise(s)

La crise apparaît comme la nouvelle norme en matière de communication. Depuis l’émergence de l’information de masse en continu, mais aussi depuis la montée en puissance des réseaux sociaux, tout événement non maîtrisé devient un sujet de crise potentiel. La crise est présente à chaque instant, sous des formes multiples, et concerne toutes les organisations, quels que soient leur statut, leur taille et leur secteur d’activité. Crise : Une banalisation du mot qui tend à provoquer de la lassitude et de la colère, chaque crise neutralisant d’autres enjeux sociétaux concomitants : une bonne raison d’échouer à prendre en compte la complexité de ces mêmes enjeux, le tout ayant pour conséquence de favoriser des réponses toujours prises dans l’urgence et a fortiori sans efficacité. Pire, dans une société qui offre déjà beaucoup trop d’objets à croire et pas assez de crédibilité, cette normalisation n’amplifierait-elle pas notre incapacité à faire confiance et à nous reconnaître « dans ce monde-ci », nous qui sommes devenus habitués à miser et à nous reposer sur des principes automatiques ?

“Le progrès et la catastrophe sont l’avers et le revers d’une même médaille : inventer le train, c’est inventer le déraillement, inventer l’avion c’est inventer le crash.”

Paul Virilio

Décryptage(s) – analyse de l’information et culture des images

Comment faire la distinction entre une image véritable, porteuse d’un sens et d’un message, et un simple visuel, destiné à vendre une mer bleu turquoise sur un baril de lessive ? La masse d’images et d’informations planétaires est si abondante, en même temps qu’éphémère, que tout dire ou prétendre tout comprendre est vain, et admis comme impossible. Le communicant, le journaliste, l’observateur, le politique, ne travaillent plus à produire l’information mais à la réduire pour être vus et entendus. D’un autre côté, chaque information a désormais pour horizon la viabilité de notre monde et, à l’intérieur de celui-ci, les relations entre les divers mondes humains, animaux, végétaux, en tant qu’ils composent la variété de ce monde. Les informations ne portent plus sur des parties isolées du monde sans concerner l’état du monde en général. Dès lors, ce n’est plus chaque événement qui est relié au destin du monde, c’est le destin du monde qui est suspendu au fil de chaque information.

“L’image est hantée par ce qui ne s’y trouve pas”.

Pascal Bonitzer

Aucune intelligence artificielle ne vous remplacera jamais pour penser et écrire un contenu original. Parce qu’une histoire véritable déteste la perfection : elle aime l’imprévisible et s’écrit à plusieurs.

Storytelling

La prolifération des écrits invite également les entreprises à plus de créativité en matière d’imagination et d’inventivité. Il s’agit d’instiller de la sensibilité et de la fantaisie dans des récits écrasés par la rhétorique de la démonstration rationnelle. Le storytelling est un défi à la froideur du conceptuel et la sécheresse du langage mercantile et tecnhocratique : même s’il n’atteint pas toujours les buts qu’il prétend poursuivre, il participe à la richesse de l’univers de la marque, à sa la lisibilité et à son efficacité. Retourner dans l’imaginaire des marques, exploiter l’incroyable richesse des illustrations, des métaphores et des analogies : voilà qui semble mobiliser des imageries plus fertiles en matière de rêve et d’émotion.

“ …inventer une nostalgie pour un passé qui n’a jamais existé.”

Michael Cimino

Relation(s) presse(s)

Le milieu journaliste devient de plus en plus difficile à sensibiliser. Les relations presse, comme la quasi-totalité des pratiques sociales et professionnelles, sont en cours de mutation sous l’effet des transformations numériques, de la multiplication des contenus et des points de vue. Les marques se fondent sur des histoires qui ont pour vocation de présenter une réalité et susciter de l’intérêt. Reste à les amplifier et les diffuser efficacement. C’est la raison pour laquelle on ne peut pas raconter n’importe quoi, non seulement pour des questions d’éthique ou de déontologie journalistique, mais aussi parce que nous devons pouvoir assurer une crédibilité, afin de pouvoir compter sur le soutien et la collaboration de tous les autres médias.

“Il faut tout voir, tout entendre et tout oublier”.

Napoléon Bonaparte

Culture Luxe(s)

Le luxe authentique aime les mises en scènes. Derrière l’apparat et les jeux de miroirs, il raconte une histoire interlope où l’indigence côtoie la lumière, où la nuit, le nu, les parfums rares et les tissus précieux s’entremêlent mystérieusement. C’est un récit tragicomique qui cultive les ambiguïtés, un art de la limite qui ne fait pas de cadeau. Est-il illusoire pour autant ? Certainement pas. Non seulement parce que l’excellence requise dans la qualité du luxe lui est nécessaire pour le rendre visible, mais plus encore parce qu’il déclenche une véritable transformation de soi. Ce n’est pas par hasard que la métaphore alchimique soit omniprésente dans le luxe : on devient quelqu’un d’autre à son contact. Il y a dès lors quelque chose de philosophal dans la matrice du luxe. N’est-ce pas en effet par son œuvre que le diamant se départit de sa gangue chtonienne et redevient lumineux et céleste ? Que le minerai aurifère restitue l’or solaire ? Que l’écume de mer se transmute en perle ? Rien d’étonnant non plus que perdure de nos jours le souvenir des propriétés magiques ou médicinales de ces matériaux rares, consacrant le possesseur du luxe en oracle (il sait ce qu’il porte, il recommande). Par nature, l’effet principal du luxe sera toujours de faire vivre un invisible réenchanteur. Le luxe lance de véritables défis à la pensée, parce que c’est un objet qui garde sa part d’irréductibilité : l’objet de luxe nous renvoie toujours à nous-mêmes. Finalement, à travers ses créations, n’est-ce pas lui qui nous pense ?

“ Le luxe ne désigne pas une qualité de l’objet possédé, mais une qualité de la possession.”

Jean-Paul Sartre

Art(s) & Cie

« Tout est beau dans le meilleur des mondes ». Arts, culture et industrie s’éclairent mutuellement par leurs jeux de miroirs. Depuis le passage au 18e siècle d’une économie de ressources à une économie de services, notre société a fait évoluer le modèle primaire du capitalisme fordien vers un capitalisme qualitatif et esthétisé, où le critère du beau est devenu l’atout majeur de la différenciation, pour des marques de plus en plus omniprésentes : c’est la naissance de l’homo aestheticus. Déjà les expositions universelles de la fin du XIXe siècle avaient marqué l’attention prêtée à la valeur extra-marchande (et donc entre autres esthétique) des biens de consommation courante. Dès lors nous vivons aujourd’hui dans l’ère de ce que les sociologues appellent le « capitalisme artiste », où il ne s’agit plus seulement de produire à moindre coût des biens matériels, mais de solliciter les émotions, stimuler les affects et les imaginaires, faire rêver, sentir et divertir. Le beau fait évidemment partie de ces critères. Aujourd’hui plus un seul produit industriel n’est fabriqué sans une réflexion initiale sur le design et la beauté.

« L’art est de cacher l’art. »

Joseph Joubert

Nous n’aimons pas le premier degré ni le remplissage, nous revendiquons à la fois la légèreté et l’esprit critique.

Ressource(s)

Conseil

Savoir

Nous sommes à votre écoute, prêts à analyser votre situation et vos besoins : audit de votre dispositif de communication, analyse concurrentielle, analyse de l’opinion et des tendances, études d’image et de positionnement. Nous avons également les compétences et l’expérience pour vous accompagner dans les périodes difficiles.

Rédaction

Écrire

Forts de plus de 15 années d’expérience dans l’univers des médias et de la presse écrite généraliste à Genève et à l’international, nous avons développé un large réseau de contributeurs et de journalistes spécialisés (économie, finance, immobilier, art, lifestyle…etc.). Nous collaborons également avec des correcteurs et des traducteurs.

Training

Dire

Pourquoi devenir dépendants des autres quand on peut apprendre à devenir soi-même un spécialiste de l’information et des images ? L’univers du luxe, de l’art ou des médias vous intéresse ? Vous devez repenser votre stratégie RSE, ou rédiger la charte éthique de votre société ? Un petit coup de pousse en culture générale afin d’améliorer un storytelling ? Plus simplement, besoin d’un mur de rebond pour confronter vos idées ?

Créa

Faire

Notre équipe de graphistes bénéficie d’une expérience reconnue dans les univers de la presse, de l’art et du luxe. Nous créons vos visuels, logo…etc. Nous réalisons des chartes graphiques de A à Z : revues, livres, artbooks, plaquettes, brochures, présentations…etc. Par ailleurs nous travaillons avec plusieurs imprimeurs en Suisse et en Belgique, avec lesquels nous entretenons des relations privilégiées.

Tant qu’il y aura des humains pour prendre le temps et faire des erreurs, il y aura encore du style authentique et de la pensée créative.

VOS CONTENUS ONT DE LA VALEUR
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